Tu m'enlaçais, Dans les ruines du vieux Rome. A part nous, y a personne. Seul le tonnerre résonne,
Sérieux, il faut que je fasse tout alors ...!! Non mais sinon, vous m'envoyez vos identifiants et vos mots de passe et puis je le fais moi-même.
Et aussi : Assez !
J'en profite aussi pour vous mettre la chanson con de la semaine, qui m'a même servi de titre hier. Je la dois encore à Bob qui passera sa thèse es chansons con la semaine prochaine.
En 1982, Remy Tarrier nous chante Il n'y aura pas de match retour , et moi je dis, c'est une chanson qui fait débat :
J'ai beau passer notre rencontre au magnétoscope,
Je n'arrive pas a comprendre comment j'ai pu la perdre.
Quand je t'ai connue, j'étais hors jeu,
J'attendais la mi-temps pour souffler un peu.
Depuis un bon moment je touchais plus un ballon,
J'tournais en rond dans la surface de réparation.
Pour réchauffer mes mains, je les mettais dans mon short
Et j'étais triste comme une belle attaque qui avorte.
Soudain, sur une passe lumineuse
Ma vision du jeu se fit plus claire.
Je t'ai tout de suite remarquée,
Démarquée près du poteau de corner.
Une occasion comme ça il n'y en a pas deux dans un match.
Je n'ai pas hésité, contrôle de la poitrine,
Reprise de volée, en plein cœur.
(Refrain)
T'es belle comme un coup-franc de Platini qui va dans la lucarne,
Sensuelle comme un p'tit pont d'Pelé dans un mouchoir de poche
Moi qui suis comme un tir de Rocheteau qui s'écrase sur le poteau,
Imagine comme je fus étonné qu'tu m'aies sélectionné.
Comment ? Tu es anglaise !
J'ai le trac, je n'ai encore jamais aimé au niveau international.
Je songe à Liverpool et me souviens d'Ipswich
Dès le coup d'envoi je comprends que ce sera très physique
J'aime aller au contact, épaule contre épaule, nous partons en une-deux
Je sens que tu veux changer d'aile,
Tu essayes de t'échapper par quelque feinte de corps
Mais je reste vigilant toujours à la limite de la correction,
Jusqu'à cette putain de 89e minute
Je jure il n'y avait pas penalty
Tu t'es laissée tomber toute seule
Résultat, lorsque j'ai protesté
Tu as sorti ton carton rouge en me disant :
« Pour toi c'est fini il n'y aura pas de match retour. »
Je ne pleure pas, non, c'est la douche
Au stade où j'en suis, je vais me pendre à la barre transversale
Et je veux que l'on m'enterre au Parc des Princes
Et pourtant
(Au refrain)
T'es belle comme un coup-franc de Platini qui va dans la lucarne
Sensuelle comme la pelouse de Wembley avant qu'on l'aie foulée
Ne me reste que ton maillot, l'odeur de ta sueur
Et la trace de tes crampons en bleu sur le cœur
(Au refrain)
Un bon weekend prolongé à toi, Zamilecteur, glande bien sur les terrasses, et surtout, ne bois pas que de l'eau.