On vient de M.A.R.S. ce n'est pas une farce IAM live de la planète Mars....

Quand j'étais poutite et que je travaillais pour la grosse compagnie, j'étais malheureuse.

Par exemple, le petit coup de blues le dimanche soir parce qu'il faut aller travailler le lundi matin, je suis sûre que la plupart d'entre vous visualisent bien de quoi je parle. Bon  bin moi j'avais un gros coup de blues qui commençait le vendredi soir.

Comme un énorme coup de blues en permanence, en fait.

Pratiquement, je n'avais aucune raison d'être malheureuse, j'avais Bob qui n'était plus malade, Papakejem et Mamnkejem qui m'aimaient aussi, des sous, des copains, des amis.

Mais s'il suffisait que tout aille bien pour que tout aille bien, ce serait top facile. Il y a des fois, où même en pensant au poilus pendant la Grande Guerre, ta vie semble valoir moins que tripette.

Je vous ai collé le moral, là, hein !

Ne me remerciez pas.

Comments

['tine]

en mangeant une bonne salade au lard

[Pétronille]

Ou un bel épisode à suspense des Vacances de l'Amour.

[Tobette]

Maintenant, une petite pointe de vague à l'âme mais rien qui ne puisse pas être soulagée par un verre de Martini ou une rediffusion du Gendarme et des gendarmettes.

[Pétronille]

Ah ouaaaais, tout de suite, ça va mieux... Le secret pour échapper au coup de blues du dimanche soir ? Manger du GRAS.

(non en fait ça marche pas. Mais l'hiver approche, ça fera au moins une couche protectrice.)